Mes autres Soeurs étaient l’Une serieuse; elle me retint dans les bornes; mais j’aí depuis foutu ses deux Filles à Paris: Ma Troisième était encore trop jeune: Ç‘a été Une superbe Fille à dixhuit ans! Je me rejetaí neanmoins sur cette Enfant, lorsque je m’aperçus que Cathos, jumelle de Jenovefette, était inabordable. Il me falait un Con, depuis que j’en avais palpé Un: je patinaí Babiche. Enfin un Dimanche, qu’elle était bién arrangée, & que ma Mère l’avait baignée, je la gamahuchaí.
Ce fut à cette benigne operation, que je fus surpris par l’ardente Madelène au Con soyeux. Elle nous examina longtemps avant de nous troubler, & voyant que la Petite avait du plaisir, elle fut tentée. Elle parla. Nous nous remimes décemment. Madelène ne dit mot: Elle renvoya Babiche. Puis elle hazarda de badiner avec moi. Elle me renversa sur la pâille de la grange, où j’avais attiré Babiche; & lorsque je fus par-terre, elle me chatouilla, passant par-dessus moi, jambe de-çà, jambe de-là. Par-hazard, je portaí la main sous ses jupes, & j’y trouvaí l’admirable Con soyeux. Ce poil divin determina mon goût pour elle. Je devins fou du Con de Madelène-Lingüet: je lui demandaí à le baiser? — Petit coquin! (me dit-elle), attens un moment-. Elle ala au puits, tira un seau d’eau, & s’accroupit dessus… Elle revint, & badina encore. Enflâmé, hors de moi, je lui dis, dans ma petite fureur érotique, — Il faut que je lèche ce joli trou-. Elle se mit sur le dos, les jambes écartées: je léchai; la belle Madelène hocha du cùl: “Darde ta langue dedans, cher petit Ami”! (me disait-elle). Et je dardais, & elle haussait la mote. Je fourgonnais avec rage!… Elle eút tant de plaisir, qu’elle se recria. Je bandais come un petit carme: & come je ne dechargeais pas, j’avais toujours la même ardeur. Aussi m’adorait-elle. Obligée de me quitter, Madelène me dona des friandises, que je mangeaí avec Babiche.